Comment Jeff a commencé à bâtir son crédit.
Jeff, propriétaire d’un magasin de motocyclettes en Colombie-Britannique, a connu un parcours financier difficile. Mais aujourd’hui, il est enfin aux commandes.
« Au début de la trentaine, on se dit qu’on est libre, qu’on a de l’argent, dit Jeff. Malheureusement, je n’étais pas très doué en matière de gestion financière, et cela a fini par me rattraper. »
Avec son manque de formation ou d’expérience en matière financière et ses factures qui s’accumulaient, les grandes banques n’envisageaient pas de lui accorder une carte de crédit.
« Le loyer, la nourriture, les factures, le besoin d’un véhicule, tout a commencé à s’accumuler, dit-il. Pour ce qui est du crédit, c’était comme si je n’existais pas. La banque que j’ai appelée à l’époque m’a dit en gros qu’ils ne pouvaient pas parier sur moi. » C’était une dure réalité.
« Se faire refuser par une institution financière, c’est la pire des sensations. Surtout quand on croit faire ce qu’on est censé faire en tant qu’adulte. J’ai décidé de ne pas baisser les bras et de me remettre sur pied. »
Et c’est exactement ce qu’il a fait.
Jeff a commencé à faire ses propres recherches sur la façon de bâtir son crédit. Après avoir lu les commentaires des clients de Capital One, il a passé un coup de fil.
« Tout de suite, le représentant de Capital One m’a mis à l’aise. On me traitait comme une personne, plutôt qu’avec condescendance. Je parlais avec quelqu’un, pas un robot. Je me suis senti à l’aise. » Par la suite, Jeff a reçu une carte de crédit et a réussi à prendre le contrôle de ses finances.
« Chez Capital One, on m’a traité comme je le souhaitais. Lorsque j’ai reçu cette approbation, je me suis senti bien, j’ai eu l’impression qu’ils me faisaient suffisamment confiance pour trouver une solution. Une fois que j’ai reçu cette carte, j’ai éprouvé un sentiment de soulagement. À partir de là, j’ai fait preuve d’une prudence accrue. J’ai fait attention à mon crédit. »
Ayant repris le contrôle, Jeff a pu se consacrer à son rêve d’ouvrir un magasin de motocyclettes.
« Sans cette carte de crédit, rien de tout cela n’aurait été possible. Capital One m’a aidé à financer les premiers achats pour le magasin. » En gérant ses finances de façon responsable, Jeff a commencé à rebâtir ses antécédents de crédit, ce qui lui a ouvert de nouvelles perspectives. Peu après, il a pu acheter des articles de base comme un chariot élévateur et un établi pour lancer son entreprise.
« Grâce à Capital One, j’ai pu entreprendre un parcours de crédit qui m’a permis d’ouvrir mon magasin. Il n’y a pas d’autre endroit où je préférerais être, et rien d’autre que je préférerais faire. Le fait de m’être responsabilisé est un jalon important. Je me sens chanceux. »
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